les femmes battues

le nombre de femmes battues augmentent ces dernieres annees (+30¨%)... 166 femmes battues seraient mortes l'annee derniere

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DES FEMMES MEURTRIES, des hommes enfermés dans leur spirale de violence, elle en voit tous les jours… Psychiatre, professeur de médecine légale, experte auprès de la cour d’appel de Lyon, Liliane Daligand* a participé à la mise en place expérimentale d’une consultation pour les auteurs de violences au centre hospitalier Lyon-Sud.


1 Jalousie = danger. S’il n’y a qu’un seul signe avant-coureur dont on doit se méfier, c’est la jalousie. « Dès lors qu’elle est excessive, inquisitrice, possessive et soupçonneuse, elle devient maladive. Un homme jaloux à ce point est quasiment toujours violent. Cela commence à bas bruit, par des mots avant les gestes. Il exclut sa femme de tout cercle de relations, il la piste, la soupçonne. Tout en l’amadouant, la persuadant qu’elle sera mieux à la maison, l’homme la coupe de tout projet professionnel et de ressources. Avec un homme comme ça, je n’ai qu’un conseil : fuir tout de suite, sans espérer pouvoir le changer par amour », explique Liliane Daligand.

2 «Stop » dès la première gifle. « Il faut dire non, un vrai non, déterminé, en expliquant que c’est la première mais aussi la dernière. Ne pas laisser de place au pardon : l’homme violent l’espère toujours et ce serait une brèche. Si l’on est capable de lui expliquer fermement qu’il doit respecter notre corps, cela peut stopper ses futurs accès de violence. Parler et raisonner ne sert à rien. On voit bien en consultation à quel point ils se sentent eux-mêmes infirmes de la parole. »

3 Faire constater les coups. Un certificat médical est indispensable. Si l’on n’ose pas pousser la porte du médecin de famille, de peur que le mari violent le sache, s’en mêle ou parce qu’on n’a pas d’argent pour payer la consultation, il faut aller aux urgences.

4 Porter plainte. « Toujours ! », insiste Liliane Daligand. C’est en principe plus facile aujourd’hui : les tribunaux poursuivent plus systématiquement les violences conjugales. Gendarmeries et commissariats sont plus sensibilisés. Si ce n’est pas le cas, « refusez absolument la simple main courante et insistez pour déposer une plainte. C’est le seul signe qui fasse sens. Les études menées au Canada prouvent que le seul moyen de limiter la violence est le recours à la justice ». Et la peur de représailles ? « La plainte, suivie d’une éventuelle garde à vue, est une humiliation pour l’homme. Mais plus on laisse faire, plus on prend de risques, et cela peut aller jusqu’à la mort. Car la violence est une addiction : elle va toujours crescendo. »

5 Se faire aider. « Une femme victime s’en sort rarement seule. » Si amis et proches ne savent en général rien de l’enfer qu’elle vit, et que « le cercle familial n’est pas le milieu qui l’aidera le mieux », il faut en revanche à tout prix en parler, pousser la porte d’un centre d’information féminin et familial, ou d’associations d’aide aux victimes… Et se faire aider pour partir. « Le mieux est de trouver un lieu neutre, un centre d’hébergement qui accepte les enfants s’il y en a : même bébés, ils ne se sortent pas indemnes, sans suivi, des violences faites à leur mère. »

* Auteur de « Violences conjugales en guise d’amour » (Ed. Albin Michel 2006). "

il y a les hommes battu aussi

akriel a écrit:

il y a les hommes battu aussi

Un homme en est même mort cette année...


Mais cela n'excuse bien sûr pas tout ces hommes qui tabassent leur femme... ces femmes ne devraient pas rester avec de pareils hommes... ou alors qu'elles restent mais avec le mec qui se fasse soigner...

c'est clair que ces femmes ne devraient pas restées avec un homme qui les bats mais se passe souvent beaucoup d'années avant que la femme ne décide de le quitté, parce que qu'il y a toujours une sorte de dépendance à cet homme (que ce soit sentimentale ou pécuniére)

je suis du meme avis
autant pour les hommes que pour les femmes

choutte a écrit:

c'est clair que ces femmes ne devraient pas restées avec un homme qui les bats mais se passe souvent beaucoup d'années avant que la femme ne décide de le quitté, parce que qu'il y a toujours une sorte de dépendance à cet homme (que ce soit sentimentale ou pécuniére)

il y a aussi la peur .on a l'impression d'etre rien sans lui

moi je les ete avant avec mon ex mari je l es ete pendant 5 longue année c dur de vivre sa et maintenant on a toujours peur que sa se reproduise

et on dit toujours qu'on ne sait pas ce qui se passe dans 1 couple , c'est vrai que la peur empéche parfois toutes réactions !!!
mais rien n'excuse de battre une femme ( ou 1 homme ou 1 enfant ) !!!

magda a écrit:

mais rien n'excuse de battre une femme ( ou 1 homme ou 1 enfant ) !!!

C'est clair...

magda a écrit:

et on dit toujours qu'on ne sait pas ce qui se passe dans 1 couple , c'est vrai que la peur empéche parfois toutes réactions !!!
mais rien n'excuse de battre une femme ( ou 1 homme ou 1 enfant ) !!!

Je suis tout à fait d'acord avec ton raisonnement Magda!!!

La peur, ça peut faire faire des choses plus qu'incompréhensibles mais il faut passer par là pour comprendre...

Pour moi, les gens qui sont violents ne sont que des êtres faibles...

Je pense aussi qu'on parle beaucoup de la violence physique mais que la violence morale, la violence des mots peut blesser de la même manière et laisser des séquelles tout autant irréversibles...

je suis d accord avec toi steph a propos de la violence moral car je touve meme que sa blesse plus que si on taper.

mais a propos de la violence physique je ne suis pas d accord avec toi se qui tape son faible.

la violence moral vous detruit à petit feu ,c'est la plus viscieuse car elle ne se voit pas ,il m'a fallut 5 ans pour trouver le courage de partir et 10 ans pour commencer à reprendre confiance en moi .

je suis bien daccord avec vous

je pense que la violence physique va de pair avec la violence morale... dans tous les cas ça doit être dur...

oui c est sur mais la violence moral te detruit a petit feu tandi k physque c est tout de suite. tu voit se que je veut dire

saki a écrit:

je pense que la violence physique va de pair avec la violence morale... dans tous les cas ça doit être dur...

pas forcement...
on peut passé son temps a rabaisser descendre l'autre personne jusqu'a la pousser à bout sans etre violent physiquement, et puis peut etre que c'est meme celui qui est violenté moralement qui finira par peté un cable et etre violent un jour qui sait...

enfin il doit avoir pas mal de cas different
dans tout las cas, c'est nul

je pense que la mviolence morale detruit sur le long terme et entraine un manque de confiance en soit etc..

j'ai pas voulu dire que la violence morale s'accompagnait toujours de violence physique, mais le contraire

quand il y a violence physique il y a violence morale

et il peut y avoir juste violence morale

bref...

oui oki javais pas bien compris
je dois avoir une mauvaise connexion entre mes deux neuronnes ou pire il y en a un de mort

laetitia60 a écrit:

je suis d accord avec toi steph a propos de la violence moral car je touve meme que sa blesse plus que si on taper.

mais a propos de la violence physique je ne suis pas d accord avec toi se qui tape son faible.

Ben c'est ce que je viens de dire

Stéphanie de Compiègne a écrit:

laetitia60 a écrit:

je suis d accord avec toi steph a propos de la violence moral car je touve meme que sa blesse plus que si on taper.

mais a propos de la violence physique je ne suis pas d accord avec toi se qui tape son faible.

Ben c'est ce que je viens de dire

oups pardon mais en lisant je me sis rajouter un mot

laetitia60 a écrit:

Stéphanie de Compiègne a écrit:

laetitia60 a écrit:

je suis d accord avec toi steph a propos de la violence moral car je touve meme que sa blesse plus que si on taper.

mais a propos de la violence physique je ne suis pas d accord avec toi se qui tape son faible.

Ben c'est ce que je viens de dire

oups pardon mais en lisant je me sis rajouter un mot