Les gardes-frontières ont fait deux découvertes inattendues aux Verrières en Suisse. Il s’agit précisément d’animaux destinés à la consommation et dont certains avaient déjà été spécialement préparés pour cet effet.
C’est dans les affaires d’une touriste parisienne voyageant à bord du TGV Paris – Berne que les gardes-frontières ont retrouvé le premier lot d’animaux. Il ne s’agissait pas de n’importe quel animal, loin de là car c’était en fait des espèces en voie de disparition. En fouillant dans les bagages de la suspecte, les gardes-frontières ont mis la main sur un macaque ainsi que des serpents fumés, des chenilles et des poissons.
Ils avaient été soigneusement répartis entre deux sacs. Interrogée sur le contenu de ces derniers, la touriste a avoué qu’il s’agissait de marchandises en provenance de la République Centrafricaine. Tout le contenu des sacs a été détruit et la jeune femme a écopé d’une amende.
Quelques jours seulement après le cas de la Française, ces mêmes gardes-frontières ont été confrontés à une nouvelle cargaison de serpents en l’occurrence des serpents roi ainsi que des couleuvres. Cette fois-ci, la découverte n’a pas été faite sur un passager du TGV mais sur un véhicule immatriculé en Hongrie en transit sur le territoire suisse. Dans cette seconde affaire qui est encore plus alarmante, les gardes-frontières se sont rendus compte que les serpents en question avaient été “kidnappés”… Affaire à suivre.